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Personnels en nombre, voitures, motos, radars, alcootests, rien n’est de trop pour sécuriser les usagers de nos routes par ces temps de grande effervescence.
Mais alors, peut-on pour autant se mettre à rêver d’une fin d’année sans accident grave de la circulation ?
Quoiqu’elle ne soit pas privilégiée, la répression n’en est pas moins le second volet de cette stratégie. Pour les infractions les plus graves comme pour la récidive, la répression consiste en la saisie ou la suspension du permis de conduire, l’immobilisation ou encore le retrait
de la circulation des véhicules incriminés, voire leur mise en fourrière.
La même activité est visible dans les agences de voyage, où les préposés à la prévention routière prennent langue avec les responsables et les passagers, afin que tous intègrent en conscience la nécessité de s’équiper de bon sens et de vigilance sur la route.
A ce jour, les efforts déployés par les pouvoirs publics portent des fruits. Depuis un bon nombre d’années déjà, la courbe des accidents est inversement proportionnelle à la densité sans cesse croissante du trafic routier.
Cependant, la débauche d’énergie ne mènera à rien de bon, c’est-à-dire à la préservation des vies, si les principaux bénéficiaires de toutes ces prévenances, à savoir les usagers de la route, ne s’approprient les principes de l’action salvatrice ainsi entreprise, en laissant la primauté à leur instinct de conservation, plutôt qu’à l’ivresse des effluves éthyliques et la griserie des foudroyantes accélérations. En faisant preuve de civisme et de sobriété sur la route. Parce qu’il est possible de s’enivrer de joie, sans pour autant mourir de joie. Donc, prudence sur la route, et vive la vie !!!
Capitaine de Vaisseau Atonfack Guemo Cyrille Serge Chef de Division Communication - Mindef
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