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Selon les informations fournies par le journaliste, le commandant aurait instauré une règle quotidienne imposante à ses subordonnés de réaliser des contrôles de la circulation à l'endroit de leur choix, exigeant ensuite le versement de 2000 FCFA à la fin de chaque journée. Chaque unité, composée de trois éléments, serait tenue de remettre cette somme. Cette méthode, clairement illégale, entache la réputation des forces de l'ordre et mine la confiance de la population à leur égard.
Par ailleurs, des allégations de corruption pèsent également sur le commandant de brigade. Il aurait libéré un délinquant du nom de Mvomo Miguel, en échange d'une somme d'argent versée par la famille de ce dernier. Mvomo Miguel est accusé d'avoir volé des plaques solaires appartenant à la mairie et à la Campost de Bengbis, ainsi que des biens provenant d'un salon de coiffure.
Ces pratiques, jugées inacceptables, portent préjudice à l'image de la gendarmerie et des forces de l'ordre en général. Il devient impératif de mettre en place des mesures efficaces visant à éradiquer la corruption et le racket au sein de ces institutions. Les responsables, en particulier, doivent se montrer des exemplaires et démontrer une intégrité sans faille afin de restaurer la confiance de la population envers les forces de l'ordre.
La lutte contre de telles pratiques doit être une priorité, non seulement pour préserver l'intégrité des forces de l'ordre, mais aussi pour garantir la confiance indispensable de la population envers ces institutions cruciales pour la stabilité et la sécurité de la société.
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