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Le corps sans vie de l’homme de média avait été retrouvé avec les pires atrocités sur son corps. A côté de Jean Pierre Amougou Belinga, quelques uns de ses proches très au fait de ce crime crapuleux ont également été interpellés; l’un des pires crimes que l’humanité ait connu, infligé à un journaliste qui ne faisait que son travail dans un pays où il y a la justice.
En effet, en fin de semaine dernière, la toile avait été envahie par des nouvelles jusqu’ici non fondées annonçant l’arrestation du magnat des médias et influent homme d’affaires Amougou Belinga, qui avait ensuite fait une sortie en grande pompe avec ses thuriféraires pour se moquer de toutes les personnes qui le croyaient en détention.
De ce fait, l’opinion publique croyait au même scénario lundi dernier malgré l’annonce de plusieurs médias internationaux de renom, jusqu’à ce que le groupe l’Anecdote communique officiellement sur l’arrestation de son Pdg , et confirme son interpellation et sa détention au Secrétariat d'État à la Défense. Bruno Bidjang, journaliste à Vision 4 et DG du Groupe l'Anecdote a également été arrêté et détenu dans les mêmes conditions que son patron Amougou Belinga. L'on annonce également l'arrestation du patron de la Sécurité d'Amougou Belinga et père de Melissa Amougou la troisième épouse du Zonloa, le Colonel à la retraite Etoundi Nsoe. Même sort pour l’épouse la 3 ème épouse de Zomloa. Le chauffeur du principal suspect est en fuite et est activement recherché par les autorités. Il est à relevé que d'importants escadrons des forces de l'ordre ont été déployés pour perquisitionner son domicile et ses biens.
À titre de rappel, c’est défiguré, sodomisé à l’aide d’un morceau de fer chauffé, amputé des doigts, brulé vif, la langue arrachée, ses excréments insérés dans sa bouche, son cure chevelure retiré de force à l’aide d’un objet tranchant…Ses restes jetés sans vêtements à Ebogo 3, une périphérie de Yaoundé, tel est le sort qu’a été réservé à Martinez Zogo il y’a de cela près de 3 semaines.
Ainsi, la machine est en tout cas en marche. Résolument. Avec à la baguette le garant numéro un de l’Etat de droit. La délégation générale à la Sûreté nationale, le Secrétariat d’Etat à la défense en charge de la gendarmerie nationale sont à l’œuvre et progressent visiblement à un bon rythme. Et après les forces de sécurité, l’appareil judiciaire va prendre le relais. Comme cela se fait dans tout Etat qui se respecte. Le Cameroun prétend en être. C’est tout le sens du déploiement ordonné et suivi de près par le chef de l’Etat depuis l’assassinat qui défraie la chronique en ce début d’année.
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