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Selon le ministre, la commercialisation des livres doit se faire uniquement dans les librairies, en ligne ou dans des espaces spécifiquement dédiés à cet effet. Elle est réservée aux professionnels détenteurs d'un agrément, à l'exception des livres de seconde main, pour lesquels des centres d'achat et de revente peuvent être créés dans le respect des règles réglementaires.
Le ministre rappelle aux contrevenants les sanctions prévues par la loi pour la vente de livres dans les établissements scolaires. Ces sanctions sont sévères, allant d'un à cinq ans d'emprisonnement et d'une amende allant de 1.000.000 à 5.000.000 de F CFA.
Cette mesure vise à garantir un accès équitable aux livres pour tous les élèves et à promouvoir un environnement propice à l'apprentissage. En évitant la vente de livres dans les établissements scolaires, on favorise la transparence et l'efficacité du processus d'achat, tout en évitant les pratiques commerciales douteuses.
Il est donc primordial que les acteurs du système éducatif, ainsi que les institutions et les personnes concernées, respectent cette interdiction et se conforment aux dispositions de la loi. En encourageant la commercialisation des livres dans des espaces appropriés, nous contribuons à la promotion de la culture du livre au Cameroun et à l'épanouissement intellectuel des élèves.
En conclusion, la note du ministre du Commerce rappelle l'interdiction de la vente de livres dans les établissements scolaires avant la rentrée scolaire 2023/2024. Cette mesure vise à promouvoir une distribution équitable des livres et à prévenir les pratiques commerciales illégales. Il est donc essentiel que tous les acteurs du système éducatif respectent ces dispositions pour garantir une éducation de qualité pour tous les élèves.
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