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Deux groupes idéologiques en opposition au coeur de a bataille au CEEAM
Immatriculée sous la référence de déclaration d'association N° : 000536/J06/BAP(Mfoundi), le théâtre de la crise qui secoue cette association est sans précédent. Fondée en 2007, le CEEAM s'est positionné comme un cadre idéal d’épanouissement de la jeunesse estudiantine de l’arrondissement de Minta dans la Région de l’Est ; au regard des objectifs fondamentaux. A ce titre, des actions louables telles que les Cours de remise à niveau, des campagnes de sensibilisation, activités culturelles et sportives et bien d'autres ont toujours été le chapelet des réalisations de cette association.
Des cadres de haut niveau en sont sortis. Mouvement apolitique, le CEEAM a connu une grande mutation en fonction des générations qui se sont succédées et des leaders qui ont été au perchoir. Pour cette circonstance particulière, la crise résulte de la confiscation du pouvoir par le Bureau Exécutif National élu en Assemblée Générale Extraordinaire en 2018 selon des sources bien introduites.
Depuis cette année toujours selon nos sources, un pouvoir aux tendances autocrates a été mis en place, ce qui a révolté l'immense majorité des membres actifs. Le comble de la situation a été encore l'amalgame de gestion des projets sans véritable compte rendu et le mépris débordant du Président qui s'est arrogé les pouvoirs managérial et opérationnel.
L’organe en charge de l’organisation du congrès électif mis en place par le Président contesté du CEEAM est d’ailleurs globalement constitué de ses principaux valets, essentiellement programmés pour tripatouiller les résultats des élections qui, selon les sondages ne sont pas favorables à leurs commanditaires.
Prévu au mois d’août prochain le Congrès du CEEAM s’annonce comme le congrès de tous les risques.
Une situation préoccupante qui nécessite un arbitrage objectif des aînés et autorités de Minta. « Restons calmes et attentifs aux aînés ; car présentement ils sont en pourparlers afin de nous donner une ligne de conduite. Personne, je dis personne ne va surpasser leur héritage et décisions qu'ils prendront ici. Restons et demeurons à leur écoute. Chers aînés, en voici votre héritage que les uns et les autres veulent vendre aux enchères, nous vous prions de surseoir le plus tôt possible un verdict qui mettra un terme au non respect scrupuleux des textes du CEEAM. Je dis bien du CEEAM, que certains confondent à d'autres associations dont je préfère taire le nom. Vos petits frères que nous sommes, nous vous prions de dire seulement une parole et le CEEAM reprendra ses lettres de noblesse. », implore Simon Mengang Nguilabo, fils de l’arrondissement et menbre actif de l’association en cause. L'urgence d’une conciliation des différents protagonistes devient un impératif pour un retour à la normal
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Ça va se savoir